Sans-Souffle

A bout de souffle, je m'essouffle.

Dimanche 26 juillet 2009 à 20:23

On s'imagine bien trop de choses, une belle histoire.

On ouvre les yeux, et puis voilà.
Je sais que vous savez.

Je veux savoir aussi.


M.

Samedi 4 juillet 2009 à 14:38

C'est fou.

Fou comme d'une semaine à l'autre, on peut passer des pleurs aux sourires, du café aux céréales, de la moquette au plancher.
On change, tellement vite.

Je ne vois plus le temps passer, et j'écoute Skinny Love.
Je me pose là où on m'emmène.

J'évite, j'esquive, j'ai peur.

Toujours.

J'en fais trop ?
T'en fais toujours trop.
 
Si pour une fois, j'me posais pas de questions.
On ferme les yeux, on avance, et qui vivra verra comme on dit.

Je me relis sans vraiment me comprendre.
C'est tout moi.


Incensé.






Lundi 29 juin 2009 à 19:34

Oui ça fait mal, très mal, trop mal.
Comme si j'avais besoin de ça en ce moment, tout n'est déjà pas assez compliqué, maintenant je dois faire face à tout ça, seule.

Et puis voilà, il me remplace.
Larguée le dimanche, remplacée le lundi.

Vous croyez au coup de foudre ? J'y crois plus.

Je veux juste faire mal.

Et il pensait que je lui avais tout dit, mais si tu savais.
Si tu savais, tu ne sourirais plus.

'Je ne veux plus te voir, te parler.'
Ces mots résonnent dans ma tête. Il faut oublier.
Oublier une personne du jour au lendemain comme si on ne l'avait jamais connu.
Une page qui se tourne.

Et moi je pleure.

Il sait qu'il me fait mal ? 
Il le sait.
Il me comprend ?
On ne se comprenait plus.
 
Si seulement j'avais su, putain, mais j'en aurai profité, je n'aurai pas dit Non.
Si tu savais.

Je veux juste te faire mal.

 Vient le temps des remises en questions.
Comme un film qui repasse devant mes yeux, mais j'en connais déjà le début, la fin.
Je sais comment tout se finit : Les méchants gagnent, et la princesse reste seule dans son château.
Elle se marie avec le dragon.

'Thibaud, c'était un enfoiré...'
Tu vaux pas mieux, connard.

J'ai besoin d'écrire mes pensées, elle se bousculent, je veux tout simplement oublier.
Je veux m'oublier.
Ne plus être raisonnable. Faire des conneries, Une connerie.

J'étais si nulle que ça ?

Oui, tu étais pitoyable.

Vendredi 6 février 2009 à 16:58

Ce bric-à-brac de pensées se réduit peu à peu.

Je deviens un Putain de Bordel Organisé.


Et cette pluie dehors, elle me déprime, tous ces paysages que j'ai l'impression de revoir en Noir & Blanc.

Comme une impression de passer à coté de Tout.

Je les vois m'oublier peu à peu.



-Oui elle va bien, elle va toujours bien.
Elle sourit, c'est ça le principal, non ?

Oui. Non. Chut.


Ne pas trop en dire, on finirait par croire que.
Tais-moi.


M.


Dimanche 1er février 2009 à 17:11

Je voudrai simplement vous voir, avant de m'en aller.

Vous dire "au revoir", vous dire que j'ai aimé.
Que ces pas dans le sable qu'efface le vent,
Ne soient pas semblable à ce souvenir naissant.
Car mes regrets me guident, mes larmes coulent silencieusement,

Mes yeux humides me stoppent, après avoir pris de l'élan.

Car je précipite ma chute, j'essouffle mes sentiments,
Le décompte de ces minutes, me paraitrai trop lent.

& pour ne pas tomber, je retiens du bout de mes doigts,
Ces quelques pleurs qui ne font que couler, et qui pour finir me noie.
Faut-il perdre la vue, pour ne pas regarder derrière soi ?
Pour que ce sourire dévêtu, me reviennent rien qu'une fois.
Faut-il être sourd, pour ne pas entendre ?

Ces paroles sans retour, qui vous demande d'attendre.

M.

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